Petite randonnée à Etretat 093
Etretat, courte randonnée de haut en bas et inversement !
Une belle journée ensoleillée (par préférence) nous fut nécessaire pour visiter paisiblement ce site d’Etretat et en profiter pleinement, car autant que possible, il faut l’apprécier du haut comme du bas, à marée haute comme à marée basse, en vive-eau étant l’idéal.
Pour ressentir au mieux les choses, du recul est souvent conseillé, car les différentes « portes » ne sont pas visibles d’un seul point sauf en hélicoptère, et ces dernières ont toute leur majestuosité quand elles sont admirées du niveau de la mer.
Il est question de plage…oubliez le terme ! Il s’agit d’une GREVE, c’est à dire un estran couvert de galets de silex, de taille variable, plutôt grande, qui rend la marche un peu délicate aux chevilles mal tenues. Signalons au passage que le ramassage de galets est interdit, même au titre du simple « souvenir »…des tonnes ayant déjà été soutirées pour des activités artisanales d’antan…non sans impact sur l’environnement.
Divers écrivains célèbres et autres peintres non moins célèbres sont passés par là, et on comprend qu’ils aient pu être inspirés par l’étrangeté des lieux, leur impressionnante verticalité ( 50 à 84 m) la blancheur crayeuse soulignée de lits de silex sombres, et, bien sûr, les « portes » toutes trois fort différentes, résultat du cumul d’une longue érosion/corrosion souterraine par une rivière, suivie d’une corrosion/érosion marine lorsque le recul de la falaise eut mis au jour la galerie et ses méandres. L’accès à la Courtine par un petit tunnel à marée basse rajoute un peu d’aventure et de mystère, que le charme des Pisseuses d’eau douce ré-hausse. Bien évidemment, la célèbre aiguille vaut d’attendre les couchers de soleil…
Pour ressentir au mieux les choses, du recul est souvent conseillé, car les différentes « portes » ne sont pas visibles d’un seul point sauf en hélicoptère, et ces dernières ont toute leur majestuosité quand elles sont admirées du niveau de la mer.
Il est question de plage…oubliez le terme ! Il s’agit d’une GREVE, c’est à dire un estran couvert de galets de silex, de taille variable, plutôt grande, qui rend la marche un peu délicate aux chevilles mal tenues. Signalons au passage que le ramassage de galets est interdit, même au titre du simple « souvenir »…des tonnes ayant déjà été soutirées pour des activités artisanales d’antan…non sans impact sur l’environnement.
Divers écrivains célèbres et autres peintres non moins célèbres sont passés par là, et on comprend qu’ils aient pu être inspirés par l’étrangeté des lieux, leur impressionnante verticalité ( 50 à 84 m) la blancheur crayeuse soulignée de lits de silex sombres, et, bien sûr, les « portes » toutes trois fort différentes, résultat du cumul d’une longue érosion/corrosion souterraine par une rivière, suivie d’une corrosion/érosion marine lorsque le recul de la falaise eut mis au jour la galerie et ses méandres. L’accès à la Courtine par un petit tunnel à marée basse rajoute un peu d’aventure et de mystère, que le charme des Pisseuses d’eau douce ré-hausse. Bien évidemment, la célèbre aiguille vaut d’attendre les couchers de soleil…
Un bon sentier permet aussi de déambuler sur les hauteurs, et il serait dommage de ne point en profiter, car la vue est immense par temps clair. Très beau ciel nocturne aussi, magnifique par temps dégagé et sans lune…
Bien sûr, conjuguer beau temps fixe + nouvelle lune + vive-eau demande un petit examen du calendrier et de la météo…mais ça vaut la peine. Bien chaussé(e)(s), jumelles, bon gros pique-nique, coupe-vent efficace, vous ne serez par déçu(e)(s). Gare à la remontée du flot, le tunnel et certaines petites cavités à flanc de falaise sont immergés ou coupés du chemin de retour.
Et si vous rencontrez Arsène Lupin, le suspense sera entier !!!